J’ai fini ma mission au Madagascar et je suis déjà retourné à mon pays. En bref, j’ai dit pourquoi c’est toujours intéressant d’aller à l’Afrique dans ma poste dernière, ici je voudrais expliquer que j’ai vu à Nossi-Bé.
Mes collègues sont diligents. Le plusieurs comprennent ses travail bien (ce semble un peu bizarre, mais c’est pas facile si on sait la conservation!). Pour moi, travailler pour 50 heures chaque semaine est normal (je sais, ce n’est pas bon pour la santé), mais quelqu’uns là-bas peut-être plus long. Pendent la discussion, ils étaient en général attentifs, et les questions sont aussi constructives.
Ils se trouvaient face aux problèmes similaires que nous (quelques que les nôtre devant des décennies), techniques ou sociaux. Heureusement, ils peuvent analyser et essayer résoudre avec les technologies plus avancées, par exemple, l’application et le management de base de données qui recueille les infos de pêcherie (comme les espèces des poissons, ses poids, et certainement la dates). La discussion considérait la volonté de pêcheurs, la capacité d’y manager des gouvernements, la mobilisation d’ONG, etc. Bien qu’il n’y eût pas éventuellement des conclusions immédiates, la logique et les pointes de considération étaient raisonnables.
Nous avions notre discussion dans un village, où il y a juste des hôtels et restaurants. Pendent ma visite courte à la ville à côté, j’avais le sens de développement là-bas. Spécialement, j’ai connu une brande de vêtement, qui produisent T-shirts des bonnes qualités et font efforts de marketing.
Dans mes collègues il y a une écologiste et ornithologue qui s’appelle Mouira. Elle m’a dit beaucoup d’arbres, d’oiseux et d’écologie du Madagascar. J’ai vu un martin-pêcheur et un coucal de Madagascar. J’ai aussi vu des caméléons, des makis, et geckos numéraux.
Il n’y avait pas de climatiseur dans la salle de conférence, seulement des ventilateux. C’était un challenge pour tous quand la température moyenne était 30 degrés.